Quand la Chancelière Merkel préconise un logiciel open source, Sormas, pour la gestion de l'épidémie. Et exhorte les Länder à l’adopter sans tarder
Lors d’une conférence de presse le 21 janvier, la chancelière Merkel a rappelé, devant la perspective d’une croissance exponentielle de l’épidémie, l’importance du traçage (…)
« Cela signifie que nous devons améliorer la recherche des contacts, doubler ou tripler la capacité des centres de santé dans le suivi des cas-contacts. Nous devons utiliser le numérique pour tracer les contacts, SORMAS et DEMIS - vous savez tout cela. (...)
Il y a environ 380 services de santé.
En collaboration avec les Ministres-Présidents, nous avions décidé qu’un système commun de suivi des contacts, à savoir SORMAS, devrait être installé d’ici début janvier. Cela ne s’est pas fait : plusieurs Länder nous ont dit : « Nous avons d'autres systèmes équivalents et nous voulons des interfaces avec le système d’information de l’Institut Robert Koch ». Et ils disent maintenant: « nous allons passer a SORMAS, mais pas tout de suite. O bien, comme en en Rhénanie-Palatinat « on ne peut pas passer comme çà du logiciel MIKADO, que nous utilisons à SORMAS ».
Je plaide pour que tout le monde se décide très rapidement en faveur d'un système commun…Sinon, le développement ultérieur du système ne sera jamais harmonieux, car Mikado ne se sera pas aussi performant que SORMAS et parce qu’il faudrait refondre l'interface de SurvNet encore et encore. En d'autres termes, une approche nationale uniforme est indispensable.
Je continuerai de dialoguer avec les centres de santé car nous avons renforcer le suivi des contacts. Tous ceux qui ont installé un système numérique - en particulier SORMAS - peuvent réaliser le suivi des contacts dans les centres d'appels beaucoup plus facilement ».
Pressekonferenz von Bundeskanzlerin Merkel zur aktuellen Lage